Deux anciens internationaux de Rugby ont rendus visite à la Station d'Arcachon

Samedi, les anciens inter­na­tio­naux de rugby Philippe DINTRANS, 51 sélec­tions, 12 fois capi­taine de l’équipe de France et Jean Pierre GARUET, 42 sélec­tions et élu à 2 reprises meilleur pilier du monde, qui étaient de passage à Arca­chon où ils ont parti­cipé à une confé­rence débat à l’oc­ca­sion de laquelle un hommage a été rendu à leurs admi­rable carrières spor­tives, sont venus rendre visite aux sauve­teurs de la station SNSM d’Ar­ca­chon à l’in­vi­ta­tion de son président Michel PELE­GRY qui a long­temps joué avec Philippe DINTRANS au Stado­ceste Tarbais, ce club légen­daire des Hautes Pyré­nées qui va fêter cette année le cinquan­te­naire de son dernier titre de cham­pion de France.

Lors de la visite des locaux de la SNSM où les équi­pe­ments des sauve­teurs leur ont été présen­tés, ces deux légendes du rugby se sont dits admi­ra­tifs de l’ac­tion des  béné­voles des sauve­teurs en mer et de leurs valeurs d’en­ga­ge­ment désin­té­res­sées iden­tiques au rugby qu’ils ont connu.  Béné­voles  mais profes­sion­nels toujours à la recherche de l’ex­cel­lence et du plus haut niveau, en somme !

Les deux anciens inter­na­tio­naux ont promis de reve­nir au prin­temps voir leurs nouveaux amis de la SNSM lorsqu’ils récu­pè­re­ront au début du mois d’avril, avant la saison esti­vale, leur vedette SNS 250 actuel­le­ment en travaux pour être équi­pée d’une nouvelle moto­ri­sa­tion, afin d’as­sis­ter à un entrai­ne­ment de sauve­tage sur le bassin d’Ar­ca­chon puisque lorsqu’ils ne sont pas en inter­ven­tion, nos sauve­teurs réalisent un entraî­ne­ment systé­ma­tisé leur permet­tant d’as­su­rer la meilleure sécu­rité de la navi­ga­tion sur le bassin d’Ar­ca­chon.

Cela  permet de rappe­ler que la navi­ga­tion sur le bassin exige le respect des règles de base de connais­sance et de précau­tion de la navi­ga­tion en mer, la station SNSM d’Ar­ca­chon ayant tout de même secouru 2 000 personnes sur le bassin ces 10 dernières années, ce qui démontre que navi­guer sur le bassin n’est jamais sans danger.